Ces registres sont connus sous le nom de pinkasim (« pinkas » au singulier) et ont été utilisés par les communautés juives européennes il y a des centaines d'années. Ils permettaient notamment de retracer les transactions financières, définir les relations avec les organismes gouvernementaux non-juifs ou noter les événements politiques majeurs.
Les pinkasim sont aujourd’hui conservés dans diverses collections à travers le monde. La première phase de numérisation du projet, financée par la Rothschild Foundation Hanadiv Europe, a téléchargé environ 200 documents situés entre le XVIe et le XIXe siècles.