Est-ce que je suis un producteur de « données publiques » ?
Suis-je obligé de les rendre accessibles à tous ?
Suis-je obligé de les rendre réutilisables ? Puis-je les vendre ?
Ne font-elles pas porter un risque sur la vie privée ?
Quel intérêt de partager les données publiques dont je me sers ?
Comment partager mes données ? Par lesquelles commencer ?
Jérôme Kalfon, actuellement directeur des bibliothèques de l’université Paris-Descartes, prendra le 1er octobre la direction de l’Agence bibliographique de l’enseignement supérieur (Abes) où il succédera à Raymond Bérard, parti diriger l’Institut de l’information scientifique et technique (Inist) à Nancy
DARIAH (Digital Research Infrastructure for the Arts and Humanities) fait naturellement figurer au premier plan de ses objectifs la création de liens entre des ressources en ligne et l’établissement d’échanges interdisciplinaires. De facto, la multiplicité des langues européennes pose une question à la fois fondamentale et on ne peut plus pratique : comment organiser les connaissances, au sein d’une discipline et entre les disciplines ?
Les présentations de cette journée sont accessibles : http://www.huma-num.fr/ressources/communications
Quatrième édition des colloques « Communiquer la science », le thème 2013 est consacré au débat dans son acception la plus large : de l’échange entre science et citoyens, lors d’une fête de la science ou d’un café des sciences, au débat public plus formalisé
Coût de l’IST : des augmentations contenues dans un contexte budgétaire défavorable – des efforts qui doivent être amplifiés afin d’éviter des désabonnements massifs.
Lire le communiqué de presse paru dans AEF. le 9 septembre 2013, n°187075
Selon cette étude, 50 % des articles scientifiques publiés en 2011 dans les 28 pays européens et dans les grands pays industrialisés sont disponibles gratuitement. 22 disciplines scientifiques ont été prises en compte. L'Open Access sera appliqué par la Commission dans le cadre des projets de financement européen.
Qu’est-ce que l’intérêt général ? La question n’a rien d’anecdotique puisqu’elle donne une légitimité à de nombreuses pratiques et notamment à plusieurs exceptions au droit d’auteur. Que comprendre sous ce concept ? Y a-t-il un consensus sur cette notion et sur les notions voisines d’intérêt général ou de service public utilisées, elles aussi, dans l’univers juridique, voire celle de biens communs ? Comment l’intérêt public est-il compris dans d’autres pays ? Que disent les droits français et communautaire ? Comment se traduit l’intérêt public pour les bibliothèques ? Les services d’archives ? Et pour d’autres établissements documentaires ?
Clarifier le paysage, affiner une définition, telle est ambition de cette conférence