Le projet s’articule autour de trois étapes : la préparation des documents, leur numérisation, et l’indexation, avec référencement, qui les rendra consultables. Une plateforme temporaire va offrir de suivre l’avancement de ces étapes, avant une version définitive, servant aux chercheurs et professionnels des archives.
Le projet doit générer 250 To de données, qui sont découpées pour l’heure en trois sections : matériel politique, photos et autres ressources. Initié en 2017 par la Section de la Mémoire institutionnelle de la Bibliothèque des Nations Unies, la numérisation est opérée par la société Arkhenum, basée à Bordeaux.
À terme, des cartes (plus de 10.000), ainsi que des plans, une iconographie, mais également des objets redécouverts dans des boîtes un peu oubliées, seront à consulter en ligne. Tout est d’ailleurs imprimable ou téléchargeable, en PDF par exemple.